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  • Ninkuglo estime avoir traversé 50% de sa vie active sur terre et n'estime pas l'avoir raté car ayant le sentiment d'avoir été le centre d'un univers terriblement émotionnel, le socle d'un monde profondément tourbillonnant en termes de sentiments
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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 16:02

Caresse très intime, le cunnilingus consiste à stimuler le sexe féminin avec la bouche. Explications.

 - Le cunnilingus

Caresse très intime, le cunnilingus consiste à stimuler le sexe féminin avec la bouche. Explications.

 

Un préliminaire amoureux
On considère que le cunnilingus est l’équivalent féminin de la fellation. Il provient du latin "cunnus", la vulve, et "lingere", lécher. C’est une pratique sexuelle orale qui consiste à stimuler la vulve, le clitoris et l’entrée du vagin à l’aide de la langue, des lèvres et de la bouche. Cette caresse provoque des sensations de plaisir intenses, qui peuvent vous conduire jusqu’à l’orgasme. Lire la suite de l'article

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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 17:53

La prostitution, le plus vieux métier du monde, n’était au Burkina Faso qu’une affaire de femmes venues d’ailleurs. De nos jours, cette affaire est aussi devenue celle des "nationales" : les femmes de nationalités étrangères ont progressivement passe le témoin à nos sœurs du pays des hommes intègres, et dans bien des cas, des jeunes demoiselles du milieu scolaire des zones urbaines. C’est le cas de Kumbo, une fille du quartier Tampouy à Ouagadougou, qui vit cette double vie depuis quelques moments : élève au grand jour, fille de joie une fois la nuit tombée.

 

Il était 16 H 50 quand la cloche retentissait ces cinq coups habituels. Les cartes mélodiques qui se décrochent de ladite cloche, une bouteille de butane usagée, partent faire le tour de la cours et, à notre oreille, reviennent marquer un point, un message unique : la fin des classes. C’est la trêve d’une journée de programme chargé.

 

En 3e F, une des vingt quatre classes que contenait le Centre de Formation Commerciale Privé du Kadiogo (CFCPK), le professeur n’eut pas le temps même de dire : « vous pouvez sortir » que, comme des criquets pèlerins, les élèves en uniforme brun et kaki se répandirent et remplirent la cours de l’établissement. Cris, chahuts, gambades, des gestes qui ne manquent pas dans le milieu des jeunes, saturent soudain le grand vide de l’espace de la cour.

 

Dans ce presque-crépuscule d’octobre, avec une atmosphère mi-chaude mi-froide, Kumbo se recroqueville dans son coin. L’esprit ailleurs, l’aire pensif, elle ordonne à ses doigts de fouiller ses poches puis les voila en train de pianoter sur son téléphone portable qu’elle vient de rallumer. Une conversation ! Non. Elle fait un jeu ! Non. Elle reprend un calcul de maths ! Je n'y comprends rien, ca m'agace.

 

Son téléphone, une Nokia 5130 Xpress Music de couleur bleue, équipée d’un appareil photo, d’une camera, d’un dispositif de musique, toutes les options dont peut rêver un jeune de son âge, est la dernière série de ladite marque et son acquisition n’est pas donnée a n’importe qui dans ce milieu ; Kumbo le porte a l’oreille, trois seconde, relis sur l’écran et recommence, cinq, sixc dix fois.

Dans l’espace de cinq minutes, un appel fredonne : «  Allo ! Oui, allo ! Je… vous pouvez me rappeler dans deux heures ? Merci ». Elle raccroche. « Tri-tri-tri », un autre appel ! « Allo Bonsoir, Oui, c’est elle, Monsieur. »

Kumbo, en attendant de gérer ces prédateurs insatiables hors de la cours de l’école, fait appel à sa meilleure amie, Samira qui, aussitôt, arrive. Les deux charmantes complices disparaissent sur une moto de la dernière série de la marque Yamaha : la « Nano », sous le regard envieux des camarades.

 

Une heure et demie plus tard, voilà la pimbêche fraîche de Tampouy sur l’avenue du Kwame N’krumah, l’Avenue Caméléon ; ce Business centre qui se métamorphose, la nuit venue, en un véritable sex-shop. Sur cette rue, le sexe s’expose à l’instar d’une foire, et on y croise tous aspects de nénettes. Elles sont relativement pimpantes, avec une silhouette protéiforme et toutes vêtues d’habits transparents, légers et largement courts, laissant apparaître, cœurs, flèches, dragons, scorpions, langues, toutes sortes de tatouages qu’on aperçoit sur les parties intimes de ces "belles de nuit".

 

Et dans tout ça, Kumbo avait de la place : une place de choix parmi toutes ces « qualités ». A dire vrai, Dame nature n’a pas défavorisé cette fille de pauvre maçon qui gagnait difficilement son pain à la sueur de son front. Les yeux de Kumbo étaient vifs et brillants, ses longs cheveux, noirs et lisses. Et tout cela contribue à la rendre jolie. La démarche souple, agile, aisée et désinvolte, Kumbo n'a pas de défauts ; ni aux lèvres, ni nulle part sur ces parties visibles du corps. Kumbo a beaucoup de chance et n'est pas bête. En plus de toutes ces qualités physiques, elle a le sens de l’attraction, de la séduction.

 

L’interminable exercice du « monter-descendre »

 

Juchée dans l’enceinte du maquis Sow Biz au bord de l’avenue du Dr. kuame N’krumah, buvant et se tortillant au son des derniers tubes pour aguicher les chalands, mais aussi pour tromper l’ennui et l’angoisse, Kumbo voit un Monsieur lui faire signe de la main à bord d’une Mercedes 190D antique à l’opposé de la voie. Elle s’y rend immédiatement, monte après deux minutes de discussions et disparait dans la pénombre avec celui-là. Elle revient sur les lieux dix minutes plus tard, un peu dépeignée et sans une de ses chaussures. « Dans la rue, nous sommes victimes de toutes sortes de tracasseries : abus sexuels, viols, coups et blessures, etc. de la part des délinquants. Ce Monsieur-là qui venait de me prendre s’était juste garé dans la réserve d’à côté et voulait tout accommoder dans son véhicule, puis tenais à finir de faire avant de parler de fric », affirme Kumbo, la racoleuse Ouagalaise de 20 ans, orpheline ni de père ni de mère. « Cela fait trois ans que je suis sur ce terrain. Je suis l’ainée d’une famille de quatre enfants dont je dois m’occuper de la scolarité ».

 

C’est jeudi, le 21 du mois : le mois a deux chiffres, dit-on ; l’offre dépassant la demande, les prix ont baissé et la passe se négocie entre 5 000 et 7 000 F CFA, les frais d’hôtel ou de chambre de passe en sus. Ces prostituées, de toutes formes et de toutes nationalités prennent toutes sortes d’excitants (alcool, café, cigarette, drogue) pour se mettre en train. « Celles assises sur les terrasses des maquis, témoigne Kumbo, sont les plus nanties ». Celles-ci viendraient en voiture ou à moto ; elles ne pratiqueraient pas une prostitution de subsistance, et pour les approcher, il faudrait nécessairement passer par des entremetteurs. « Elles sont installées partout : au Taxi Brousse à côté, au Moulin Rouge, au Pili Pili, tout comme ici au Show-biz, et leurs clients préférés sont les Blancs » ajoute-t-elle.

 

Soudain, on aperçoit un individu en voiture qui stationne, elles ont toutes les yeux rivés sur celui-ci et lui font des signes ne prêtant pas à équivoque et tendant à l’attirer. D’aucunes sifflent. Mais celui-là n’est pas à l’étape de recherches : il avait déjà tout arrangé  par téléphone. C’est celui-là même qui avait promis à Kumbo de rappeler dans deux heures quand elle était dans la cours de l’école. Salutations d’usage et l’affaire est conclue. Des chambres de passe sont à moins de deux cent mètres, où le couple circonstanciel peut satisfaire ses besoins en échange d’espèces sonnantes et de sensations fortes pour l’une et l’autre des parties. Une fois encore, Kumbo monte, disparait, trente minutes plus tard Kumbo descend de la même voiture au bord du maquis Show Biz et son Monsieur s’évanouit, sans mot dire, dans les horizons comme s’il avait une urgence.

 

L’air frais commençait à souffler dans la zone et décontractait les uns et les autres comme si c’était une récompense pour leur courage. A peine descendue de la voiture, la Nokia 5130 Xpress Music de Kumbo fredonne. « Allo ! Devant le show Biz. Ok, merci » cinq minute environ plus tard, le Monsieur se gare, et Kumbo monte, peu après, il revient, Kumbo descend. Tenez vous bien, Kumbo ne se trouve pas dans un immeuble à dix étages dont elle emprunte les escaliers pour des va et vient ; mais Kumbo monte, descend, monte et redescend.

 

Nous abordons 24 Heures et comme on n’est pas un vendredi soir, ni un samedi soir, Kumbo n’ira pas faire un tour vers les autres grands maquis tels que le Nandjelet, le Stade de France, le Nopegali, le Royal, le Pouvoir, le Rumbeck ou le Serum 4x4, qui sont davantage prisés quand il fait tard. Elle ira quand même faire une escale sur l’axe Casino-Garde Plus qui se trouve sur son chemin vers Tampouy, C’est un axe où la prostitution juvénile est de plus en plus pratiquée, pour le plus grand plaisir des consommateurs de « chair fraîche », de « crudité » comme on aime à le dire à Ouaga. Chaque nuit, des jeunes filles burkinabé (certaines à peine pubères) sillonnent les deux abords de la voie, à la recherche de clients. Kumbo sort de son sac à main, un miroir en forme de cœur, un peigne de couleur rose et se refait une beauté puis se dirige vers la rue voisine.

 

L’argent gagné à la sueur des fesses n’est pas béni

 

Lorsque nous sommes arrivés sur l’axe Casino-Garde Plus, à la montre de Kumbo, il était 1h du matin. De l’autre côté de la rue, deux filles adossées à l’arrière d’une voiture m’interpellent « Eh ! Monsieur, venez, on va s’entendre, ce n'est pas cher ».

 

En ce début de semaine, l’ambiance n'était au rendez-vous. Pour Kumbo, demain, c’est jeudi, il y a cours et il fait déjà tard. Elle n’est pas ici pour prospecter d’autres marchés mais pour commander l’immanquable plat familial. Deux poulets grillés avec deux longues miches de pain.

 

Loin de l’exemple de son père, ce maçon quadragénaire qui s’accroche à peine à la vie à la sueur de son front, Kumbo obtient son pactole à la sueur des fesses et cela lui sert à essuyer les larmes de sa famille : à la nourrir, à payer le loyer, la scolarité de ses frères. L’absence des trois plats quotidiens l’a contrainte à sortir chaque nuit chercher pour la famille, de quoi se mettre sous la dent. Est-ce cela le prix du silence de son père ? Lui, qui ne lui a jamais demandé où elle va après les classes ni pourquoi elle rentre toujours si tard, encore moins d’où provient le manger qu’elle rapporte chaque nuit. Ce n’est donc pas étonnant !

 

Kumbo, la pimbêche fraîche de Tampouy vend ses charmes pour subvenir aux besoins de sa famille et au-delà. Elle le fait depuis trois ans seulement mais est déjà à bout de souffle. Elle affirme que dès qu’elle trouvera un travail décent, elle rompra avec cet univers. « Les jours ordinaires, je peux sortir avec 3 à 5 clients. Par contre les week-ends, c’est au-delà des 5 » Et d’ajouter : « L’argent que nous gagnons ici n’est pas béni. Même si tu gagnes 100 000 F CFA en une seule nuit, le lendemain, ils te filent entre les doigts. Des clients me font souvent des propositions indécentes (rapports sexuels non protèges, sodomie et d’autre choses bizarres de la sorte), mais j’ai toujours refusé", conclue-t-elle.

 

Jeunes épaules pour de lourdes charges

 

A ces mots, un taxi se gare. La jeune élève-racoleuse de 20 ans monte et reprend la route du quartier. C’était aux environs de 1 Heures 40 du matin. Ce n’est qu’un au revoir car demain, la fille du maçon, l’école l’appelle. Demain matin. Et ce, pour toute la journée, après quoi il faudrait remonter sur le terrain du « monter-descendre ». Quel cercle infernal !

Vivre l’enfer pour le « salut » d’une famille, qui jour après jour, ne compte sur personne d’autre qu’elle. Kumbo, la pimbêche fraîche que la providence leur a envoyée leur permet garder leur dignité humaine : manger à leur faim, envoyer les enfants à l’école et au poste de santé. Tout ce poids sur les épaules d’une jeune fille de 20 ans. C’est le sacrifice de l’enfant béni.

 

Certes, au Burkina Faso les textes punissent le racolage, et Kumbo et ses confrères ne sont pas étrangers aux séjours aux commissariats de police de la place. Souvent prises en flagrant délit de racolage, maltraitées et présentées à la presse comme des vulgaires êtres. Malgré tout, la machine tourne■

Ninkuglo, juillet 2010

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20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 18:52

Voici votre Histoire d'Amour

Par un null jour d'été à null vous voyez la plus null créature que vous avez vu de toute votre vie. Son nom est null . Chacun des mouvements qu' null fait vous bouleverse de plus en plus. Vous poussez votre meilleur ami null du coude et lui dites, "Wow, voilà sûrement le plus null corps que j'ai jamais vu." Soudainement, null regarde dans votre direction et se dirige vers vous !!! null dit, "J'ai remarqué que vous me regardiez avec insistance. J'aimerais seulement vous dire que vous êtes tellement null . Je me demandais si vous aimeriez aller à null avec moi et null ?" En affichant votre plus beau sourire, vous dites, " null " et partez avec elle. Lorsque vous arrivez finalement à null , null s'approche très près de vous et vous embrasse comme vous ne l'avez encore jamais été. Vous vous embrassiez passionnément lorsque vous avez senti un null vous frapper derrière la tête. Vous avez alors ouvert les yeux pour vous rendre compte que tout ceci n'était qu'un rêve, mais il y avait une note près de vous. La note dit ceci: " null est l'amour de votre vie. null va vous inviter à sortir d'ici null jours, mais seulement si vous envoyez cette page à au moins 5 personnes dans les prochaines minutes. Plus vite vous envoyez cette page, plus vos souhaits ont de chances de se réaliser. Ne prenez pas la chose à la légère, parce que si vous ignorez ceci , vous n'aurez que de la malchance en amour pour les prochaines null années !"

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17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 14:58

  Vie de couple SOURIRE de femme

Il permet de détendre l'atmosphère et de dissiper bien des tensions

L'amour est comme une plante, il convient d'en prendre soin. Mais l'attention n'est pas la chose la mieux partagée dans beaucoup de couples aujourd'hui. Chacun est débordé par le travail, les enfants, etc. Or, un couple stable est le socle d'une vie harmonieuse. Le mariage scelle une relation de longue durée basée sur l'engagement des

conjoints "pour le meilleur et pour le pire". Ce modèle est en échec aujourd'hui. Beaucoup ne se marient pas. De nombreux couples divorcent avant la 5è année. Et une grande partie des ménages tiennent juste pour des raisons liées aux enfants, à la religion, à l'argent, à la peur d'être seul ou à la pression de la famille. Si les deux conjoints doivent s'investir pour assurer la survie du couple, la femme doit s'y mettre beaucoup plus.


C'est notre tradition qui le veut ainsi. La femme doit soumission à son mari et faire tout son possible pour le satisfaire. Car les hommes abandonnent facilement ; ils baissent les bras très vite ; ils doutent continuellement, et n'arrêtent pas de se poser des questions auxquelles ils ne trouvent jamais des réponses. Il appartient à la femme de soutenir son homme, pour assurer son équilibre.


C'est le fait de la nature, la femme peut, avec un seul mot, redonner de l'énergie et de l'assurance à son mari. Elle peut aussi l'anéantir. Tout comme la parole, le sourire, selon l'avis de plusieurs personnes, peut également jouer un grand rôle. Il est perçu comme une source de séduction donc une arme de guerre pour les femmes. La plupart des hommes interrogés sur la question trouvent que cet acte apparemment banal redonne la confiance et prouve l'amour de la femme envers son mari.
C'est ce qu'affirme Hady Hanne qui explique que le sourire est l'un des outils les plus précieux dans une relation dans la mesure où elle permet de rassurer le vis-à-vis et de lui signifier qu'on est content de le voir. Le sourire permet aussi de prendre conscience de son pouvoir sur l'autre, raison pour laquelle on doit lui accorder une grande importance. "Le sourire est en mesure d'attirer de me rapprocher de la personne tout en me faisant oublier mes soucis", dit-il en reconnaissant que parfois le sourire peut être trompeur. "ça donne l'impression d'être aimé ou apprécié alors que c'est tout à fait le contraire." C'est ce qu'on appelle le sourire commercial. Il permet de mettre la clientèle à l'aise et à l'inciter à acheter.


"Ma femme à un sourire magique mais malheureusement elle ne le déclenche que lorsque j'ouvre mon portefeuille", confie un Monsieur qui ne souhaite pas être cité. Il explique que pour pouvoir admirer ce sourire qui lui procure de la joie, il lui faut payer. "J'ignore pourquoi elle agit de la sorte, mais si elle savait le pouvoir de son sourire sur moi, elle le fera aussi souvent. En plus, ce qu'elle ne sait pas encore c'est grâce à ce sourire magique qu'elle arrive à me garder et le jour qu'elle le perdra je n'imagine même pas ce qui se passera", confie-t-il.

Geste de courtoisie. Ousmane Diallo, lui, soutient que le sourire n'a aucun effet sur lui. Il assure n'avoir jamais accordé une attention particulière au sourire des femmes. "Ma femme n'a pas besoin de me séduire parce qu'elle est déjà chez moi", dit-il. Selon lui, le sourire des femmes, surtout si vous vous connaissez à peine, suscite la méfiance.


Qu'en pensent les femmes elles-mêmes ? Pour Mme Ouane Aïssata, le sourire crée le rapprochement dans le foyer. Elle indique que son mari lui a confié que quand elle lui sourit, il oublie tous ses problèmes. "Il m'a assurée que c'est mon sourire qui lui donne la force de bien gérer ses difficultés", se réjouit Aïssata qui trouve que malheureusement cet acte de courtoisie manque à beaucoup de femmes. Elle croit dur comme fer que le sourire contribue au rayonnement du foyer ainsi qu'à l'épanouissement de toute la famille.


Tout comme elle, Mme Traoré Aminata Sy pense qu'une femme doit garder son sourire malgré tout. Notre interlocutrice est mariée à un professeur. Elle explique que son homme arrive souvent à la maison fatigué. "Je me suis aperçue que lorsque je lui souris il se relaxe. Depuis lors pour lui faire plaisir et surtout pour le garder auprès de moi je prends toujours le soin de l'accueillir avec ce sourire qu'il aime tant", révèle notre interlocutrice. Ami est consciente de l'efficacité de son sourire. En témoigne cette demande récurrente de son mari. "Si tu veux que ta requête soit un ordre, fais-moi ce sourire diabolique qui me chavire le cœur". Ami pense que le sourire est à la base de l'épanouissement dans son foyer. "Malgré nos différends quelquefois je me force toujours à travers mon sourire de renouer le dialogue entre nous. Il est devenu en quelque sorte l'outil de communication le plus efficace pour moi", lance-t-elle souriante.


Ami se dit heureuse et confiante pour l'avenir de son couple. Son époux qui assistait à l'entretien, a expliqué qu'il préfère le sourire de sa femme à tout l'or du monde. "Ami a de ces sourires qui me rendent fou. Lorsque j'aperçois ce sourire, je suis prêt à lui offrir la terre entière tant il me procure du bien. En plus grâce à son sourire, je me sens responsable et épanoui", a-t-il confié.


Quant à Mme Diarra Sadio, elle évoque une autre vertu du sourire. Elle soutient que le sourire a contribué à améliorer ses relations avec sa belle famille. Sadio raconte que sa belle famille ne l'avait pas adoptée au début de son mariage, mais grâce à son sourire, elle vit aujourd'hui en parfaite harmonie avec sa belle famille. C'est sa belle mère elle-même qui le lui a avoué. "Elle m'a dit que j'ai pu conquérir son affection grâce à l'accueil chaleureux que je réserve aux gens et que jamais malgré ses attitudes souvent grossières à mon endroit, j'ai toujours gardé mon sourire", explique-t-elle. Sadio pense que c'est grâce au sourire qu'elle mène une vie paisible.


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LES DIX MOTS LES PLUS UTILISES PAR LES FEMMES

1) BIEN : le mot utilisé par les femmes pour clore une discussion quand elles ont raison et que tu dois te taire.


2) 2) 5 MINUTES : si elle est en train de s'habiller, signifie une demi-heure. 5 minutes, et seulement 5 si elle t'a donné 5 minutes pour regarder le match ou jouer à la Playstation avant de sortir ou de faire n'importe quoi d'autre ensemble.

3) RIEN : le calme avant la tempête. Ça veut dire quelque chose... et tu devrais rester attentif. Les discussions qui commencent par rien finissent normalement par BIEN (voir le point 1).

4) VAS-Y FAIS-LE : c'est un défi, pas une permission. Ne pas le faire.


5) SOUPIR : c'est comme un mot, une affirmation non verbale souvent mal interprétée par les hommes. Un grand soupir signifie qu'elle pense que tu es un idiot et se demande pourquoi elle perd son temps avec toi à ne discuter de RIEN (cf. retour au point 3).

6) OK : l'un des plus dangereux mot qu'une femme puisse dire à un homme. Ça veut dire qu'elle a besoin d'y réfléchir avant de décider quand et comment te le faire payer.

7) MERCI : une femme te remercie ; ne pas poser de questions ou ne pas s'évanouir ; elle veut seulement te remercier (à moins qu'elle ne dise « merci beaucoup » qui la plupart du temps peut être du sarcasme pur)


8) COMME TU VEUX : la manière pour une femme de dire vas te faire voir

9) NE T'OCCUPE PAS, JE LE FAIS : une autre affirmation dangereuse. Ça signifie qu'une femme a demandé à un homme de faire quelque chose plusieurs fois mais, maintenant elle est en train de la faire. Ça amènera l'homme à demander « qu'est-ce qui ne va pas ? ». Pour la réponse de la femme, voir le point 3.

10) C'EST QUI ? : ce n'est qu'une simple demande... Souviens-toi quand même que chaque fois qu'une femme te demande « qui c'est », en réalité elle voudrait te demander : « c'est qui cette pétasse, et comment tu la connais ?». Envoie-le à tous les hommes que tu connais pour les prévenir qu'ils pourraient éviter les discussions seulement en se rappelant de la terminologie !!! Envoie-le à toutes les femmes que tu connais pour les faire rire... parce qu'elles savent que c'est vrai !!!

Source adonfff.com
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CES BLAGUES QUI LES FONT RIRE

Cordon bleu ?
Deux ménagères bavardent :
Ainsi, votre mari trouve toujours bon les repas que vous lui préparez, même après 35 ans de mariage ?!
Comme je vous le dis !
Vous devez être un vrai cordon bleu ?
Non...Ceinture noire !
Les femmes ont toujours raison :
Le mari :
Ca fait 5 ans qu'on est mariés, et on n'est jamais parvenus à être d'accord sur quelque chose
Tu as tort ; ça fait 6 ans qu'on est mariés.
Divorce
Alors, tu as fini par divorcer ?
Oui ! Elle était trop gamine. A chaque fois que je prenais un bain, elle arrivait par derrière et elle me coulait tous mes bateaux !

Amitié féminine
Une femme n'est pas rentrée de toute la nuit à la maison. Le lendemain matin elle raconte a son mari qu'elle a dormi chez une amie. Le mari appelle ses 10 meilleures amies. Aucune ne confirme.

Amitié masculine
Un homme n'est pas rentré à la maison de toute la nuit. Le lendemain matin il raconte a sa femme qu'il a dormi chez un ami. La femme appelle ses 10 meilleurs amis. 8 d'entre eux confirment que le mari a dormi chez eux et 2 soutiennent même qu'il est encore là!
Mais pourquoi les hommes n'écoutent jamais rien ?

Source humour.com

 

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 18:56

position du lion NOUVELLE MODE NOUVELLE MODE

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 17:42

K. S. une jeune fille de 20 ans environ, après avoir passé son réveillon à Gaoua, décida de passer la suite de sa fête de fin d’année au village à une vingtaine de km de Gaoua sur l’axe Gaoua-Nako. Elle enfourcha donc son vélo le 1er janvier et c’est chemin faisant qu’elle a été accostée par 3 jeunes hommes avec qui elle a échangé quelques civilités. Un homme couché sur la route préoccupait la jeune fille. Elle a même demandé aux jeunes de le mettre à l’écart pour qu’il ne soit écrasé. La fille décida de poursuivre son chemin.

 

Entre-temps, un des garçons qui avait porté des lunettes s’est concerté avec ses deux autres camarades et a rattrapé la fille à qui il a signifié qu’il avait décidé de l’accompagner. C’est ainsi qu’aux environs de 18 h, il a décidé de la laisser poursuivre son chemin. Et c’est dans la poignée de mains en signe d’au revoir que le jeune homme s’est subitement montré violent. C’est à cet instant qu’il a manifesté son intention d’avoir des relations avec elle. La fille opposa un refus.

 

Par la force, il l’entraîna en brousse pour satisfaire sa libido. Elle présentait plusieurs blessures au cou puisque, selon elle, c’est par strangulation qu’il est parvenu à l’immobiliser. Selon la fille, le viol a commencé aux environs de 18 h et c’est à 2 h du matin qu’elle a été libérée pour regagner sa maison. Ce qui sous-entend qu’elle a passé plus de 8 heures d’horloge avec son bourreau. Arrivée à la maison, la fille n’a guère tenu compte de la menace qu’elle avait reçue, qui la sommait à garder le silence sous peine de mort. Il raconta sa mésaventure à son papa. Le présumé violeur a été arrêté par la gendarmerie de Nako.


 

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 15:53

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la Volupté
par Ninkuglo

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 15:45

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Premier baiser
par Ninkuglo

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 12:42

Le désir violent
Juste au regard, cette femme vous croque
par Ninkuglo

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 12:18

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image003
par Ninkuglo

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